• 610 - Avataar  Place Jean Martin - Vitry-sur-Seine

    Avataar - Place Jean Martin - Vitry-sur-Seine

     

    Avataar est un graffeur de Vitry-sur-Seine, il a toujours été attiré par le dessin et la BD, il suit le mouvement imprimé par C215 dans la ville depuis 2012. On peut ainsi trouver quelques-uns de ses graffs au hasard d’une ballade à Vitry.
     

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  • 609 - Brok (Crew TNB) Passage Irène et Frédéric Joliot Curie - Vitry-sur-Seine

    Brok - Passage Irène et Frédéric Joliot Curie - Vitry-sur-Seine

     

    Qu’il l’ait voulu ou non, Brok a eu du nez en choisissant son blaze. « Brok » c’est un suffixe anglais qui signifie « casser ». Pourtant si on parle ici d’un artiste qui casse des briques en briquant ses blocks, par le mot « casse » on entend tout simplement un terme de typographie désignant l’alternative entre lettres majuscules et minuscules. Avec Brok, question typos créatives en lettres capitales on est servis.

    Brok a commencé à peindre an 1990. Originaire de Vitry-sur-Seine, l’un des berceaux du mouvement hip-hop français, il crée le groupe 3HC (« 3 Hard Core ») avec Edon et Desy. Il est également membre des crews TNB, BAD, VBA et SPAM. C’est en 1996 qu’il se lance dans la peinture sur toile, puis un an plus tard dans l’infographie. Depuis 2002, il forme en parallèle un tandem plus que complémentaire avec Alex (également MAC) dont la virtuosité et le rendu exceptionnel des personnages sont bien connus de tous (voir leur site commun Brokalex). (Source : Fatcap )


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  • 608 - Sato Cereceda Rue du 18 juin 1940 - Vitry-sur-Seine

    Sato Cereceda - Rue du 18 juin 1940 - Vitry-sur-Seine

     

    Sato Cereceda est un artiste muraliste basé à La Plata en Argentine. Le muraliste de La Plata parle d'un art qui condense la primitivité de la peinture murale et la force discursive du graffiti. Utiliser un spray, un pinceau et de la peinture. Choisissez le sourire comme symbole et le mur comme territoire. "Le muralisme est une activité artistique engagée, en ce sens, le mur est toujours là, ouvert à tous", précise-t-il.

    Tout a commencé en Thaïlande, pays millénaire entre le Laos et le Cambodge. On était en 2008 et Santiago Cereceda, désormais Sato, était là depuis quatre mois et dans un moment de lucidité il a coupé le disque, gros comme un piano, qui est tombé en temps réel sous le ciel de l'Asie du Sud-Est : il a voulu se consacrer à l'art. Ainsi, il s'est mis à défier l'imaginaire typique à partir duquel vivre de l'art est une ascension difficile, et il est arrivé à la première étape d'un voyage dont il ne sait pas où il s'arrêtera. Statut à ce jour : voyage dans une ville avec trois illustrateurs pour peindre une fresque. Projets pour un avenir immédiat : voyager tout en travaillant. "Mon projet avec l'art est de vivre de ça et avec ça de voyager." (Source : Lanan.com )


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  • 607 - Grégos - Gare du Nord - Paris 10

    Grégos - Gare du Nord - Paris 10

     

    Né en 1972, Gregos a grandi en banlieue nord de Paris (Gonesse, Villiers Le Bel). Il fait ses premières armes dans le Tag et le Graffiti à la fin des années 80, début 90. C’est après un séjour de 2 ans à Athènes en Grèce, de 1995 à 1997, qu’il se met à la sculpture, puis au moulage. De retour en France il ne cesse d’expérimenter, d’appendre et de créer.
    En 2003 il décide de partir pour Boston aux Etats Unis, où il se met à la peinture acrylique et à l’huile.
    En 2006, il revient sur paris et retourne vers son premier amour : l’art de rue.
    C'est à Montmartre dans le 18ème  ou il réside maintenant qu'il décide de participer à cet art de rue présent dans ce quartier. Il invente sont propre concept 3D regroupant toute les techniques qu’il utilise et a appris ces dernières années, et réalise une réplique à l’identique de son visage avec différentes expressions, qu’il peint et se met à coller à travers Paris. Chaque visage est en quelque sorte un autoportrait, lui permettant d’exprimer dans la rue ses humeurs, ses colères, ses joies, ce qu’il aime ou déteste, tout ce qui représente Gregos.  
    A ce jour, plus de 1000 visages ont déjà été installés, la plupart sur Paris, mais aussi dans d'autres villes de France et du monde.  (Source : Grégosart )


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  • 606 -  Icy & Sot - Rue Audigeois - Vitry-sur-Seine

     Icy & Sot - Rue Audigeois - Vitry-sur-Seine

     

    Icy et Sot, deux frères, deux artistes. Ils sont nés au Nord-Ouest de d'Iran, à Tabriz. L'ainé, Icy est né en 1985 et Sot en 1991. Ensemble, ils tapissent les rues et les murs de leurs pochoirs. En 2008, ils décident de quitter l'Iran pour toucher à plus de liberté et créativité et s'installent à Brooklyn, à New-York où ils vivent et travaillent actuellement.

    Issus d'une génération d'enfants de la guerre, les deux artistes vont promouvoir des messages très engagés. Depuis 2006, c'est par des bombes de peintures qu'ils ont décidé de riposter aux atrocités qui les entourent. Ils revendiquent des messages de paix, de justice et d'espoir en arborant haut et fort l'étendard des Droits de l'Homme. L'art est ici la meilleure arme contre l'ignorance et le conflit, et les deux artistes l'ont bien compris.

    Icy et Sot deviennent ainsi deux artistes influents et importants en Iran qui ont changé le paysage de l'art urbain. C'est grâce au skateboard, dont ils se prennent de passion, qu'ils vont découvrir le graffiti et le pochoir, les deux univers étant indissociables. Ils sillonnent ainsi la ville, et engagent une véritable croisade créative. Brique par brique, mur après mur, ils démantèlent les images préconçues de la tradition iranienne.

    C'est en provoquant, soit par des sculptures géantes ou des pochoirs muraux qu'ils tentent de faire bouger les consciences, d'inciter les spectateurs à remettre en question leurs actes. Au sens large, ce sont les questions sociales, politiques et écologiques qui sont visées avec des canettes de Coca en forme de crâne pour dénoncer la société de consommation, ou des bras recouvert de billets qui nous cachent la vue.

    Le street-art, comme partout ailleurs est illégal en Iran, mais il est tout même plus facile de se faire prendre. C'est pourquoi les deux jeunes frères décident de prendre la route pour New-York en 2008. Ils entament également un tour d'Europe en 2016 afin de partir à la rencontre d'autrui et des problématiques propres à chaque pays.

    Ensemble, Icy et Sot ont exposés à travers le monde, dans la rue et en galeries, en France, Allemagne, Norvège, Suisse et Italie.   (Source: Artsper )

     


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